Si
nous revenons sur la signification générale d’une théorie du tout, nous
pouvons dire tout simplement, que c’est un concept unificateur d’ordre
universel qui permettrait à toutes les sciences fondamentales de
retrouver leur origine commune, qui devrait être le berceau générateur
de toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature. Il
s’agit d’un modèle d’ordre visuel, dont l’essence géométrique serait à
priori naïve, capable de défragmenter les évènements qui régissent la
complétude de l’unité fonctionnelle de l’enceinte de notre univers, en
un corps hyper flexible, dont la lecture serait
inépuisable à travers la diversité de ses métamorphoses spectacles,
régies par une loi invariable, dictant la super-symétrie ambiguë des
isométries itératives et évolutives qui structurent le pavage harmonieux
de la trame de l’espace-temps, source de toutes les rugosités du monde
sensible.
- Le corps en question est théoriquement, un espace fonctionnel complet, normé et borné.
- Le contenu et le contenant de cet espace sont mêlés en une seule unité dite fonctionnelle.
- Cette unité fonctionnelle génère et régénère sa propre énergie dans un système cyclique fermé et stable.
- L’ensemble des entiers naturels, et la gamme complète des ingrédients de base de la matière se partagent une parenté géométrique universelle qui régit l’intelligibilité du confinement normé de cet espace fonctionnel complet.
- Les fameuses dimensions dites invisibles de l’espace, sont d’ordre gravitationnel pur, dont la sommation spectrale, aboutit à l’émergence de la géométrie dite euclidienne, fruit directe de la performance cinétique du corpuscule photonique qui régit la résolution panoramique complète du monde sensible.
- La mécanique quantique et la relativité générale trouvent leur réconciliation à travers les fluctuations parfaitement bien codifiées du vide quantique, qui se déploie sans obstacle et sans paradoxe entre la singularité géométrique du point et la super symétrie du tore sphérique, qui symbolisent les deux bouts extrêmes de l’enceinte de notre univers.
- Chaque particule élémentaire, nait à travers la complétude de son propre système ondulatoire, et tous les systèmes ondulatoires de la gamme complète des ingrédients de base de la matière sont liés dans un ordre hiérarchique spectral évolutif qui génère par-à-coups de classes d’équivalences d’ondes, la variante corpusculaire de chaque particule élémentaire. Les interactions cumulatives entre champs quantiques, se font globalement, par enchevêtrement de leurs variantes corpusculaires, et partiellement, à travers leurs composantes ondulatoires. Ce scénario devrait être à l’origine de tous les paradoxes mystérieux entravant la compréhension des concepts ambigus de la physique quantique, notamment, la dualité onde-corpuscule, le phénomène d’intrication, la notion de superposition et de la non localité.
- Les nœuds qui articulent la trame de l’espace-temps, dévoilent à travers les séquences d’interactions ondulatoires qui les régissent, les fondements thermodynamiques du facteur temps, ce qui explique la complétude cinétique de tout système spectral, au dépend de sa propre horloge.
- La configuration topologique du modèle en question décrit avec précision les caractères géométriques du chiasma électromagnétique induit par le phénomène de Higgs(B.E.H), conséquence immédiate du déploiement spectral du corpuscule photonique, dernière composante gravitationnelle de l’espace primordial, dit formel.
- Toutes les constantes universelles découlent de la lecture du développement du principe de causalité qui régit les transformations par rotation, translation et roulement, de l’espace entre ses deux bouts extrêmes. Ce principe se traduit sur le plan géométrique par la dualité du rapport surface/volume qui régit la torsion de l’espace-temps, dont les applications s’étalent aux normes biologiques.
- L’énergie sombre est induite par les dimensions gravitationnelles fondamentales de l’univers, alors que les trous noirs seraient de super champs magnétiques induits par les complétudes des isométries itératives à configurations toriques, qui structurent finalement le pavage super symétrique et ambigu de la trame complète de l’espace-temps.
- Le big-bang et le big-crunch sont mêlés dans un magma de forces régies par l’enchainement corpusculaire des particules élémentaires, générant les transformations d’un espace d’ordre gravitationnel pur en un espace-temps super gravitationnel, qui par son enroulement forcé à travers le chiasma électromagnétique du phénomène de Higgs(B.E.H), bascule les forces centrifuges, en forces centripètes, confinant ainsi les champs quantiques en matière massive, source des isométries rugueuses et évolutives du monde sensible.
- La théorie du tout universelle, est finalement une question de groupes de classes d’équivalences d’ondes, catégorisées en séries d’évènements cinétiques, qui par leurs combinaisons matricielles génèrent un espace fonctionnel complet, normé et borné, source de toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature.
- Une théorie unificatrice universelle, en dehors de tout formalisme et avant toute expérience devrait tirer sa légitimité de la consistance conceptuelle de l’enchainement logique des raisons qui devraient réconcilier tous les paradoxes qui entravent la complétude méthodique et systématique de la structure de l’enceinte de notre univers, de sorte que tout évènement pris au hasard, serait selon un principe causalité universel, capable de remonter l’histoire fonctionnelle de l’intégralité des phénomènes qui régissent la cohésion de cet univers.
- Finalement notre modèle, n’est rien d’autre qu’un accélérateur de particules d’ordre universel, qui puise ses forces propulsives d’une gamme complète de générateurs dont le déploiement serait parfaitement bien codifié par l’extrapolation du corps topologique de la droite réelle sur un diagramme matriciel carré dont les dimensions spectrales sont tout simplement dictées par l’application des principes de la théorie naïve des ensemble, sur l’ordre logique des éléments de l’ensemble des entiers naturels, chose, qu’un enfant de l’école primaire serait capable d’imager convenablement, grâce à un simple jeu de buchettes élémentaires.
Nous
reviendrons sur ces principes, et surtout sur la didactique élémentaire
qui permettra à un simple écolier, de développer un pouvoir
intellectuel basé sur une géométrie fondamentale référentielle, sur
laquelle, il devrait rapporter la raison de toutes les intelligibilités
physiques ou morales de la nature.
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