L’article
précèdent, nous présente la théorie de Max Planck et la théorie de la
relativité générale d’Albert Einstein, comme deux concepts physiques
liés abstraitement dans uncadre géométrique,
qui projette l’intégrale de la sommation topologique fonctionnelle des
fluctuations cinétiques ondulatoires du vide quantique, entre la
singularité géométrique du point, qui bute contre le mur de Planck, et
la super symétrie ambiguë du tore sphérique, dont les berges se délayent
au-delà des horizons palpables de la courbure de l’espace-temps, sur un
diagramme, faisant cohabiter la mécanique quantique, et la relativité
générale en un système d’ordre électrodynamique complet, fini et sans
bord, où l’aléatoire du monde quantique, extrapole la résolution de ses
principes et ses lois sur le déterminisme des isométries rugueuses et
évolutives du monde macroscopique. Toutes les réflexions analytiques de
LA SCIENCE FONDAMENTALE, raisonnent conformément à la logique de ce
scénario, qui consiste à interpréter toutes les intelligibilités
physiques ou morales de la nature, à travers la perfection dynamique du
confinement de l’espace, entre ses deux bouts extrêmes, où la réalité du
monde physique, se dévoile aux yeux du témoin que nous sommes, à
travers une résolution élective, dictée par le spectre cinétique de la
lumière, qui régit la proportionnalité de la matérialisation, d’une
énergie cinétique primordiale d’ordre gravitationnelle pure, dite
formelle, en nœuds super-gravitationnels, massifs et différentiés. Cette
matérialisation massive et différentiée de l’énergie cinétique
primordiale, serait donc, LE GENERATEUR fondamental de la conjugaison
espace-temps, dans sa version sensible, qui consiste à donner un sens
significatif à la combinaison des interactions fondamentales des champs
quantiques, modelant un espace hélicoïdal, dont la délicatesse super-
symétrique des spires, aboutit en fin de compte, à un ordre
d’intelligibilités physiques, réelles, plus ou moins complexes, qui
laissent finalement à réfléchir quant à l’origine miraculeuse du monde
vivant, qui serait le fruit d’une longue histoire de
rotation, roulement, translation d’une énergie cinétique
gravitationnelle, qui suit le cours sinueux du corps topologique de la
droite réelle dans sa version matricielle, quand l’ordre logique de ses
termes combinatoires converge vers une limite qui structure la charpente
d’un espace super gravitationnel parfaitement bien codifié, source de
toutes les intelligibilités physiques ou morales de la nature.
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